Paysages-mémoire

Ces projets s’intéressent à la dimension cicatricielle du paysage. Le paysage est ce qui fait trace. Mon travail s’envisage comme une archive vive, comme une oeuvre sentinelle. En Lettonie, en Russie, à Berlin, sur ces terres de sang englouties par la neige, j’ai essayé de traduire un important travail de documentation et d’écoute dans des narrations fragmentaires, laissant place aux fantômes du présent.